Digitalisation : un avant et un après

Selon le Centre de conseils immobiliers CIFI, il y a entre 40’000 à 50’000 biens immobiliers qui changent de mains chaque année en Suisse. Dans plus de 90% des cas, la vente est conclue par l’entremise d’une courtière ou d’un courtier en échange d’une commission.

Mais comment est fixée la rémunération des agences immobilières «conventionnelles» ?

Les tarifs de la majorité des acteurs et actrices de la branche immobilière sont généralement basés sur les standards définis par l’USPI (l’Union suisse des professionnels de l’immobilier). Ils sont fixés en pourcentage du prix de vente effectif du bien et vont de 3 à 5%.

Jusqu’à CHF 500’000, ce taux s’élève à 5%, à quoi il faut encore rajouter la TVA, qui n’est pas incluse.

Pour les biens dont le prix de vente se situent entre CHF 500’000 et CHF 4 millions, c’est le fameux 3% qui s’applique. Toujours hors TVA. Sans surprise, il s’agit du taux que l’on rencontre le plus souvent dans la pratique.

Au-delà de ce prix, ce sont des tarifs et des conditions particulières et spécifiques à chaque cas qui s’appliquent.

Si on devait parler en nombres absolus, – et c’est ce que nous allons faire – cela revient à dire que la commission varie entre CHF 25’000 à plusieurs dizaines, voire centaines de milliers de francs, notamment dans le cas de promotions impliquant la commercialisation de plusieurs lots ou d’objets de luxe.

Vous comprendrez rapidement que d’un point de vue strictement commercial, il est plus facile de mettre en avant un chiffre comme 3% ou 5% plutôt que d’exprimer en francs des honoraires aussi élevés.

A noter que ce montant n’est dû qu’en cas de vente signée chez le ou la notaire. Si le courtier ou la courtière ne parvient pas à finaliser la vente en bonne et due forme, aucune commission ne devra être rétrocédée à l’agence immobilière.

Une sécurité qui est, à juste titre fortement appréciée par la clientèle, quand on pense à l’importance des montants qui sont en jeu.

Mais comment en est-on arrivé là ?

Comme on dit, «Tout travaille mérite salaire». Cet adage est d’autant plus valable dans un domaine tel que l’immobilier, nécessitant des connaissances pluridisciplinaires, un excellent suivi et une grande disponibilité. Sans parler de l’éthique et de la déontologie qui occupent une place centrale dans ce milieu.

Le choix d’un-e agent-e immobilier professionnel-le, compétent-e et formé-e constitue le point de départ d’une stratégie et d’un processus de vente efficaces et agréables.

Jusqu’ici, tout va bien… Mais l’histoire ne s’arrête pas là !

Les tarifs évoqués plus haut trouvent leurs origines dans le monde d’avant. Le monde qui précède la digitalisation accrue des méthodes de travail de bon nombre de professions.

En effet, jusqu’à la fin des années 90, l’usage d’Internet n’était pas encore aussi répandu que ça parmi les foyers suisses.

Dans un tel contexte, vendre un bien immobilier nécessitait un emplacement physique de premier choix pour les agences immobilières de l’époque. Si vous n’aviez pas une belle vitrine dans telle ou telle rue centrale, il vous était quasiment impossible de dénicher des acheteurs/-euses dans un délai raisonnable.

Côté acheteur/-euse, quand vous recherchiez le bien de vos rêves, vous ne disposiez pas de pléthore d’options. Vos sources d’annonces immobilières se limitaient bien souvent aux vitrines des agences immobilières ayant pignon sur rue et à certaines rubriques spécialisées de quotidiens locaux et régionaux.

Puis, la digitalisation est passée par là !

Les outils de travail à la disposition des courtières et courtiers ont été optimisés, notamment avec l’implémentation de logiciels informatiques de CRM (Customer Relationship Management), autrement dit de gestion de la relation client.

Cette évolution est allée de pair avec l’émergence et l’essor des réseaux sociaux et surtout des mastodontes de portails d’annonces en ligne, à l’image d’ImmoScout24 ou de Homegate.

Résultat : aujourd’hui, plus de 90% des annonces immobilières transitent par ces portails numériques. L’ère des «vitrines physiques» comme point de départ d’une recherche est bel et bien révolue.

Autre phénomène concomitant : des années 90 à nos jours, le coût de la vie et les prix de l’immobiliers ont subi une nette augmentation. Une tendance qui se confirme d’année en année.

Mais, en dépit de toutes ces améliorations, facilitations opérationnelles et augmentation généralisée des prix, la politique de tarification des agences immobilières, elle n’a que très peu changé.

C’est dans ce cadre bien précis que chez HomEmotion, nous proposons un modèle alternatif à la fois viable et durable.

Un modèle au sein duquel une commission fixe et forfaitaire de CHF 7’990 (indépendamment du prix de vente de votre bien) n’est que la pointe émergée de l’iceberg !

L’idée est aussi simple qu’efficace : faire des affaires en faisant profiter à toutes et à tous des avantages liées à l’utilisation des technologies dernier cri et des outils à notre disposition.

Notre offre ?

Des considérations environnementales et sociales fortes avec des engagements pris, des courtières et courtiers formé-e-s et certifié-e-s, une politique de rationalisation des ressources (moins de gaspillages à tous les niveaux), une garantie de facturation effective des honoraires en cas de vente uniquement et surtout, une approche plus humaine de vos projets constituent les éléments-clé qui nous différencient des agences immobilières «traditionnelles» et même des récentes start-up immobilières.

Faites le choix d’un partenaire de confiance pour un service de courtage intégral – et bien plus encore.

Contactez-nous sans plus attendre pour un premier entretien d’évaluation immobilière offert et sans engagement.

A bientôt !